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BnF Essentiels
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Mme de Sévigné en images

Née Marie de Rabutin-Chantal, la marquise de Sévigné devient veuve à vingt-cinq ans. Femme indépendante d’une grande beauté, elle est courtisée par les plus grands du royaume et se fait chroniqueuse avertie de la vie mondaine. Avec un style drôle et enlevé, elle raconte dans ses lettres les péripéties du siècle du Roi Soleil. Épistolière de génie, au style drôle et enlevé, madame de Sévigné sait raconter, voir et faire voir tout ce qui se vit, s'observe, et se dit, à la cour mais aussi dans le Paris du Grand Siècle. Mais surtout, elle aime sa fille, Françoise-Marguerite, d'un amour exclusif. En 1669, celle-ci se marie et part dans le Midi. Les deux femmes entament alors une correspondance privée de près de mille lettres, véritable œuvre littéraire.

Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné (1626-1696)
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Madame de Sévigné et le Marais
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La disgrâce de Fouquet
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L’Hôtel de Rambouillet
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Grignan en Provence
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Le début du règne personnel
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Une femme de lettres

Veuve à 25 ans, la marquise de Sévigné est une des rares femmes indépendantes de l’époque. Elle consacre l’essentiel de son temps à l’éducation de ses deux enfants, Charles et Françoise. Le départ de cette dernière pour Grignan marque le début d’une correspondance soutenue entre les deux femmes.

Françoise Marguerite de Sévigné, Comtesse de Grignan (1646-1705)
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Charles de Sévigné (1648-1713)
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Une publication posthume

Les premières lettres rendues publiques seront celles échangées avec son cousin, le comte de Bussy-Rabutin. Publiée après sa mort, sa correspondance est une œuvre autobiographique inédite pour l’époque.

Lettre manuscrite
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Lettre manuscrite
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Edition de 1726
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Une femme d'esprit

Madame de Sévigné est formée dans la société des précieuses de l’hôtel de Rambouillet, elle y acquiert une politesse exquise et un raffinement langagier.

L’Hôtel de Rambouillet
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Charles Courtry d’après Jacques Leman, frontispice pour Les Précieuses ridicules, de Molière, 1883
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Portraits de la cour

Les personnalités de la Cour sont croquées avec beaucoup de verve par Madame de Sévigné, qui s’autorise toute franchise dans sa correspondance et écrit « la bride sur le col ». Ses témoignages sont d'une grande précision. Aucun détail ne lui échappe : couleurs de la toilette, dimensions du carrosse, et jusqu’au coût de la réception !

Mme de Maintenon (1653-1719)
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Mme de Montpensier (1627-1693)
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Mme de Montespan (1640-1707)
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Israël Silvestre, Château Royal de Versailles vu de l'avant-cour, 1674
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Une amie fidèle

Auprès de ses amies et de sa fille, Madame de Sévigné délaisse les mondanités pour aborder l’ordinaire et les économies domestiques. Son amitié tendre et fidèle fait fi des revirements d’intérêts : elle restera l’amie de Fouquet, pourtant frappé par la disgrâce royale.

Comtesse de La Fayette (1634-1693)
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Le Château de Vaux-le-vicomte
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Nicolas Fouquet (1615-1680)
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La disgrâce de Fouquet
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