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Vieillesse

Roman de la rose
Vieillesse
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Courbée par les ans, Vieillesse s’avance sur ses deux cannes. L’illustrateur n’a pas figuré les oreilles moussues et la bouche édentée si joliment décrites par Guillaume de Lorris (v. 355) : « Les oreilles avoit mossues / Et toutes les denz si perdues / Qu’ele n’en avoit mes que une. »

Mots-clés

Bibliothèque nationale de France

  • Date
    vers 1320
  • Lieu
    Paris
  • Auteur(es)
    Guillaume de Lorris et jean Meun
  • Provenance

    BNF, Manuscrits, français 1560, f. III

  • Lien permanent
    ark:/12148/mm130200089z